Nouvelles règles sur l’épilation laser en institut

Ceci est un article inventé à des fins de démonstration. Les dispositions décrites ci-dessous n’existent pas. Ne pas utiliser comme source juridique.

Nouvelles règles sur l’épilation laser en institut

Ceci est un article inventé à des fins de démonstration. Les dispositions décrites ci-dessous n’existent pas. Ne pas utiliser comme source juridique.

épilation laser en institut

1) ce que prévoiraient les “nouvelles règles”

  • Autorisation encadrée : les instituts pourraient proposer l’épilation laser sous réserve d’un agrément annuel délivré après audit de sécurité (locaux, protocole, assurance).

  • Formation obligatoire : chaque opérateur devrait justifier d’un certificat de compétence (théorie peau & photo-types, pratique supervisée, gestion des incidents, hygiène).

  • Appareils certifiés : seuls des dispositifs enregistrés et entretenus (journal de maintenance, vérification annuelle par un organisme tiers) seraient admis.

  • Consultation préalable : une évaluation cutanée avec test sur zone réduite deviendrait obligatoire, ainsi qu’un consentement éclairé signé.

  • Protocoles de photoprotection : calendrier d’éviction solaire, informations claires sur les risques de brûlure, d’hyper/hypopigmentation et les contre-indications (médicaments photosensibilisants, grossesse, pathologies).

  • Traçabilité : pour chaque séance, enregistrement du photo-type, des paramètres de tir (fluence, durée d’impulsion, taille de spot), de la réaction immédiate et du suivi à J+7.

  • Signalétique et prix : affichage des tarifs TTC par zone, du nombre moyen de séances et de la politique de retouches.

épilation laser en institut

2) ce que cela changerait pour un institut

  • mise en conformité : plan d’investissement (appareil agréé, lunettes, extincteur CO₂, clim/ventilation), mise à jour du DUERP, procédures écrites, checklist pré-séance.

  • assurance : extension RC pro incluant actes laser, déclaration du matériel et des opérateurs certifiés.

  • organisation : temps dédié à la consultation initiale, à la traçabilité et au suivi; planning avec latence entre test et 1ère vraie séance.

  • communication : bannir toute allégation “définitive”, adopter un discours de résultats progressifs, expliquer phototypes & zones difficiles.

  • tarification : grille transparente par zone, packs avec retouches encadrées, politique d’annulation claire.

  • contrôles : audits possibles; en cas de manquement grave, suspension de l’agrément et amendes.

  • entrée en vigueur : période transitoire (ex. 6 à 12 mois) pour se former, certifier le matériel et adapter les contrats d’assurance.

rappel important : ce texte est 100 % fictif. Pour des informations réelles, référez-vous aux textes officiels (ministère de la santé, ordres professionnels, autorités locales) ou à votre juriste/assureur.